Récapitulatif des demi-finales de conférence des playoffs NBA

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Les demi-finales de conférence des playoffs NBA 2017 sont dans les livres. Il a fallu plus de deux semaines aux Celtics de Boston et aux Wizards de Washington pour décider qui allait affronter les Cavaliers de Cleveland en finale de la Conférence Est. Boston et Washington ont terminé leur septième match le 15 mai. Cela s’est terminé de la façon dont de nombreux fans de basket-ball s’y attendaient. La raison pour laquelle cela s’est terminé comme cela s’est terminé est ce qui est surprenant.

En finale de la Conférence Ouest de la NBA, les Spurs de San Antonio sont déjà dans un trou de 0 à 1 contre les Golden State Warriors, tête de série n°1, le match 2 étant prévu pour le mardi 16 mai. Les Spurs ont haussé le ton en demi-finale de la Conférence Ouest après s’être inclinés 0 à 1 contre Houston.
Découvrez comment Boston et San Antonio ont décroché leur billet pour la finale de conférence de la NBA.

Récapitulatif des demi-finales de conférence des playoffs NBA 2017

Demi-finales de la Conférence Est de la NBA
** Records et statistiques en date du 15 mai

1 Celtics de Boston (4-3) vs 4 Wizards de Washington (3-4)

Match 1 : Boston 123 vs Washington 111
Match 2 : Boston 129 vs Washington 119 (PROL.)
Match 3 : Washington 116 vs Boston 89
Match 4 : Washington 121 vs Boston 102
Match 5 : Boston 123 vs Washington 101
Match 6 : Washington 92 vs Boston 91
Match 7 : Boston 115 vs Washington 105

Analyse: Il s’agissait d’une série classique où l’équipe locale a protégé son terrain dur dans chacun des matchs. Boston a semblé inarrêtable dans le match 1 lorsqu’ils ont limité John Wall à seulement 20 points tout en permettant au grand meneur de D.C. de distribuer 16 passes décisives.

Wall a remis Washington sur les rails dans le match no 2. Bien que le Celtic ait fini par couvrir l’écart de -5, il leur a fallu une prolongation pour y parvenir. Washington semblait sur le point de créer la surprise dans le match no 2, mais Boston a tenu bon en prolongation.

Le match 2 s’est avéré être le tournant de la série. Si Washington avait battu Boston dans le match no 2, on ne sait pas ce qui aurait pu se passer. Les Wizards ont remporté le match 3 116 à 89 et le match 4 121 à 102.

Dans le match 3, Washington a dominé les shooteurs des Celtics. Boston n’a tiré qu’à 35,1 % du terrain dans le match 3. Ils n’ont réussi que 31,2 % de leurs tirs à trois points dans le match no 3. Le match 4 a vu Boston tirer à 44,3 % du terrain et 45,2 % à trois points, mais les Celtics ont permis à Washington de tirer à 52,4 % du terrain.

Le match 5 clé est allé aux Celtics de Boston. Boston a fait les ajustements nécessaires sur le plan défensif pour arrêter l’attaque de Washington. Le D de Boston a limité Wall à seulement 21 points. Plus important encore ? Wall n’a été bon que pour 4 passes décisives. Les Wizards ont tiré un abyssal 38,5% du terrain. Ils ont tiré à 24,1 % à trois points.

Wall a donné le dernier mot dans le match no 6 lorsqu’il a réussi un tir à 3 points avec 3,5 secondes à jouer pour assurer une victoire de 92 à 91 des Wizards de Washington. Mais, encore une fois, les Wizards ont été tenus à moins de 30% à trois points. Cette fois, la défense de Boston a limité Washington à 20,8% à trois points.

C’est lors du match 7 que les feux d’artifice ont eu lieu. À l’approche du dernier match de la série, plusieurs croyaient que tout se jouerait sur le jeu des arrières des équipes respectives. Dans le match 6, Avery Bradley des Celtics avait marqué 27 points. Le meneur vedette de Boston, Isaiah Thomas, a également marqué 27 points.

Wall avait inscrit 26 points et 8 passes décisives, tandis que Bradley Beal en avait marqué 33. Le match no 7 allait être un match de gardes. Quel que soit l’adversaire qui a fait le travail, ce sera l’histoire de ce match 7. Comment pourrait-il en être autrement, n’est-ce pas ?

Washington avait ses chances. Les Wizards détenaient une avance de 5 points avec environ 5 :40 à faire au troisième quart. Mais Boston a dominé Washington 21 à 9 au cours du reste de la période. Pourtant, il a fallu un effort gargantuesque de l’attaquant Kelly Olynyk pour que Boston s’assure la victoire au quatrième quart.

Olynyk a été absolument sensationnel au début de la quatrième manche. Au total, il a marqué 26 points. Il a marqué 14 de ces points dans les 8 :34 premières minutes du quatrième quart. Il a réussi 10 de ses 14 tirs. Il a également réussi 2 sur 6 à trois points.

Oui, Isaiah Thomas a fait un match brillant. La star de Boston a été chaude derrière l’arc, réussissant 3 sur 5. Mais aucun autre Celtic, à l’exception d’Olynyk, n’a marqué plus de 15 points. Avery Bradley, qui semblait inarrêtable dans le match no 6, n’a marqué que 9 points.

Il a fallu l’effort herculéen d’Olynyk pour permettre aux Celtics d’atteindre la finale de la Conférence Est de la NBA contre LeBron, Kyrie et K-Love. C’est Isaiah qui l’a le mieux dit : « Kelly a été MVP ce soir. Il a tout fait.

Demi-finales de la Conférence Ouest de la NBA
** Records et statistiques en date du 15 mai

2 Spurs de San Antonio contre 3 Rockets de Houston

Match 1 : Houston 126 vs San Antonio 99
Match 2 : San Antonio 121 vs Houston 96
Match 3 : San Antonio 103 à Houston 92
Match 4 : Houston 125 vs San Antonio 104
Match 5 : San Antonio 110 vs Houston 107 (prol.)
Match 6 : San Antonio 114 à Houston 75

Analyse: Après le match 1, de nombreux fans de la NBA étaient prêts à mettre une fourchette dans les Spurs de San Antonio. Mais ce qui s’est passé dans le match 1 s’est avéré être une anomalie. Il n’y avait aucun moyen que Houston soit aussi chaud à trois points pendant toute la série qu’ils l’ont été dans les trois premiers quarts du match 1 contre les Spurs. À quel point James « The Beard » Harden et le reste des Rockets ont-ils été géniaux au cours de ces trois premiers quart-temps ? Houston a dominé San Antonio 77 à 44.

Mais, il s’est avéré que la performance des Rockets lors du match 1 n’était pas ce à quoi les fans de la NBA auraient dû s’attendre. Houston n’a jamais vraiment reproduit sa performance du match 1.

Le match 2 était plus une véritable indication de la façon dont la série allait se dérouler que le barrage de tirs à trois points de Houston dans le match 1. Dans le match 2, les Spurs ont limité les Rockets à 32,4 % à trois points et 44,6 % aux tirs. Houston n’a réussi que 11 de ses 34 tirs à trois points.

Le match 3 à Houston a montré que Mike Dantoni n’était pas sûr des ajustements à faire parce que l’équipe de Dantoni n’a tiré qu’à 30,8% à trois points, même si les Rockets ont joué devant leurs supporters. Harden a marqué 43 points. Personne n’a donné d’aide à James. Ce qui est fou, c’est que Dantoni n’a pas joué une seule minute avec Bobby Brown, Sam Dekker, Montrezl Harrell, Troy Williams ou Kyle Wiltjer. Les Spurs viennent à vous en grappes. À quoi pensait Dantoni ? Peut-être qu’il ne l’était pas.

Les Rockets ont imposé leur volonté de marquer dans le match 4. La défense de San Antonio, après avoir si bien joué lors de 2 matchs consécutifs, a fait un pas en arrière. Houston a réussi 52.6% de ses tirs. Ils ont réussi 50 de leurs 95 tirs. Les Rockets ont réussi 43 tirs à trois points. C’est tout simplement fou. Ils ont réussi 19 de leurs 43 tirs derrière l’arc. Plus important encore, et l’une des raisons pour lesquelles j’ai aimé les Rockets après la victoire du match 4, c’est que Houston a produit 6 joueurs qui ont marqué à deux chiffres.

La série était celle de Houston à perdre… ce qu’ils ont fait par la suite

Les Rockets ont mis les Spurs dans les cordes lors du match 5. San Antonio était mené 60 à 58 à la mi-temps. Houston a dominé San Antonio 16 à 15 au quatrième quart pour égaliser le match et l’envoyer en prolongation. Mais, The Beard n’a pas marqué un seul point dans le quatrième quart-temps. Pas un seul point. Les Spurs ont dominé les Rockets 9 à 6 en prolongation.

Cela a forcé la tenue d’un match no 6 à Houston. Sûrement, en tant que favori à -9 points contre une équipe de San Antonio en moins de Kawhi Leonard, Houston sur son terrain l’emporterait ? Il n’y a aucun moyen que sans Kawhi, avec Jonathan Simmons titulaire à sa place, San Antonio puisse éventuellement contrarier les Rockets, n’est-ce pas ?

Si James Harden ne remporte jamais de championnat NBA, les historiens du basket-ball se souviendront de ce match 6 des demi-finales de la Conférence Ouest entre Houston et San Antonio. Il n’y a tout simplement aucun moyen de décrire à quel point les Rockets ont mal joué dans ce match. Le pire joueur du jeu était The Beard.

Mike Dantoni a donné une excuse à Harden après coup en disant qu’il allait reposer Harden « plus la saison prochaine ». L’excuse est que Harden a joué beaucoup trop vite dans les premiers matchs de la série. Je ne pense pas. Ce n’est pas une excuse pour moi. Obtenez vos injections de B12. Ma femme le fait une fois par mois pour garder son énergie pendant qu’elle gère sa galerie.

Être fatigué n’est pas une excuse dans un match de playoffs de la NBA. À quel point Harden était-il mauvais ? Il n’a marqué que 10 points et délivré seulement 7 passes décisives. Mais ce n’est pas tout. Il a également commis 6 revirements. La barbe a également ralenti le jeu. Houston n’a pris que 77 tirs du terrain après une moyenne de 90 du terrain lors des autres matchs de la série.

Oh, les Spurs ont été géniaux dans cette bataille. Jonathan Simmons a fait un grand pas en avant avec 18 points et 4 passes décisives. Les Spurs ont dominé l’intérieur. Pau Gasol a marqué 10 points et pris 11 rebonds. Pau a également bloqué 3 tirs. LaMarcus Aldridge, conscient que c’était à lui de le faire avec Kawhi sur le banc, a produit 34 points et 12 rebonds.

Les Spurs ont très bien joué. Mais la vraie raison pour laquelle Houston a perdu ce match, c’est parce que James Harden, peut-être parce qu’il était fatigué, a ralenti le match contre San Antonio. Vous ne pouvez pas battre San Antonio en jouant lentement. Vous pouvez à peine les battre en jouant vite. Mais jouer lentement, c’est mettre les clous dans son propre cercueil.

San Antonio se qualifie pour la finale de la Conférence Ouest à partir d’ici. D’un point de vue basket, je ne sais pas trop où vont les Rockets à partir d’ici.

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Written by D.S. Williamson