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La période des joueurs autonomes est encore dans quelques semaines dans la Ligue nationale de hockey. Mais cela ne nous empêche pas de spéculer comme des fous ! C’est la saison, les amis. Bien qu’il n’y ait pas de joueurs autonomes sans compensation de la LNH en 2017 qui changeront la donne, il y a des noms de qualité qui peuvent améliorer considérablement une équipe. Voici les noms qui m’intriguent le plus.
Top 5 des joueurs autonomes de la LNH en 2017 – Qui changera la donne ?
Alexandre Radulov
Son retour dans la LNH en provenance de l’étranger cette saison a été un grand succès. Radulov s’est débarrassé de son image de fêtard et était un gars de cœur et d’âme pour les Canadiens de Montréal. Alors que tout le monde s’attend à ce qu’il revienne à Montréal, si un DG fou appuie le camion de la Brinks avec une entente à long terme, il pourrait bien considérer l’offre.
Kévin Shattenkirk
Les séries éliminatoires de cette année n’ont pas vraiment fait grand-chose pour cimenter Kevin Shattenkirk en tant que joueur autonome. Bien sûr, quelqu’un paiera trop cher pour ses services réguliers, mais il a maintenant une sous-performance en séries éliminatoires avec St. Louis et Washington sur son CV. Peut-être que les Golden Knights paieront beaucoup d’argent pour faire de lui leur numéro un. Qui sait.
T.J. Oshie
Un autre joueur des Capitals, Oshie, a été décent en séries éliminatoires et ses habiletés seront très demandées. Je ne peux pas l’imaginer aller chez un non-prétendant, cependant. Attendez-vous à ce qu’il signe un contrat de 3 ans avec une équipe qui a fait ses preuves en séries éliminatoires.
Joe Thornton
Oui, il est vieux et a beaucoup de kilomètres sur lui. Et oui, c’est une saison morte de rééducation pour lui après une blessure dévastatrice au genou. Mais les grands centres ne poussent pas sur les arbres et la vitesse n’a jamais été le jeu de Joe. Je voyais bien Thornton signer un contrat de deux ans avec une équipe remplie d’ailiers marqueurs.
Nick Bonino
Bien sûr, il y a de plus gros noms sur le marché des joueurs autonomes, mais très peu avec le QI hockey de Nick Bonino. Il a joué un rôle important dans la conquête du championnat des Penguins. Polyvalent, Bonino peut couvrir les meilleurs trios adverses ou centrer une unité censée fournir un score secondaire. À seulement 29 ans, Bonino vaut la peine d’être enfermé.
Matthew Ross est un commentateur sportif et animateur radio sur TSN 690 Radio à Montréal, Québec, Canada. Suivez-le @MatthewWords.
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